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Entrée journal No. 1 - 4

Pocket Bike vs VTT

Écrit le 25/10/2006 @ 17:02

Général - Blog Dimanche dernier, mon copain (il est anglais) a offert un super Pocket bike 50cc jaune et bleu à son fils, pour ses trois ans. Puisque mon chum est séparé de son ex et que celle-ci est la mère du petit, l'enfant voit son père quelques fois par semaine. Nous l'avons fêté dimanche et déjà aujourd'hui (mercredi), mon copain (il est dépensier) a décidé d'acheter un VTT pour Caelan (son gars) à la place et de vendre ledit Pocket bike à un gars qui travaille avec nous aux Emballages. Alors, je trouve drôle comment les choses tournent parfois. Moi qui, au préalable, avait dit à mon chum que c'était un peu prématuré de donnée un engin de la sorte à son petit poux d'à peine trois ans; c'est lui maintenant qui change d'idée, se disant, et je le crois aussi, que Caelan aura plus de plaisir à conduire un véhicule sur quatre roues (Caelan touche pas le sol de ses pieds et atteind difficilement les guidons sur le pocket bike). Enfin, ça me soulage un peu mais pas complètement. Car Shawn a acheté le pocket bike pour 240$ à un gars qui en vend à Saint-Alphonse et là, nous partons pour Beloeil, acheter le VTT, pour seulement 380$! Moi je trouve que c'est beaucoup d'argent, mais une chance que mon chum (il est aussi 'crosseur') a re-vendu le pocket bike 300$ au gars qui va se faire crosser taleur... Bon, au moins, mon chum et moi on l'a essayé (le pocket bike) tantôt et c'était pas mal cool. J'ai même pensé que j'aimerais faire de la moto. De la vaire. Bon, ok c'est une belle petite bébelle mais pour ce prix, moi (je n'ai pas d'enfant, et surtout pas d'argent!) je n'aurais surement pas acheter ça, ou peut-êtrê si on se dit que ça peut supporter jusqu'à 200 lbs et que les enfants grandissent vite. Moi mon chum cT'encore un bébé! Wink Pis je vous parle pas de son ford Escape jaune et de son ski-doo rouge et jaune qu'il a acheté, ça itoo, dans la même semaine...

Film en Noir et... Rouge

Écrit le 19/04/2005 @ 15:33

Arts - Films Si vous n'avez pas vu Sin City qui passe présentement sur nos écrans québécois, je vous recommande fortement d'aller voir ce film. Inspiré d'une bande-dessiné bien sûre, c'est là tout le potentiel du film. Les effets visuels sont prononcés et jamais confectionnés par hasard. D'abord, le film étant presqu'entièrement en noir et blanc, on peut voir ici et là quelques touches de couleur parfois purement symboliste (rouge-sang) parfois pas du tout (jaune-sang). De plus, la narration en voix-off soutien encore plus l'intrigue de l'histoire qui n'arrête pas de nous en faire voir... de toutes les couleurs!. On ne s'attend pas (enfin, pas tout de suite) à certaines sènes d'ordre hard core. Et le (les) réalisateur(s) - Quentin Tarantino est réalisateur invité sur ce film et malgré sa touche qu'on sent bien, l'ensemble du film a sa propre signature je dirais-, donc les gars en arrière de la caméra, disais-je, nous emmènent tranquillement dans des impasses et déboires virevoltants. Le film a également son lot d'humour noire tout à fait ravissant. Je pense à la tête... En tout cas, allez le voir! Et même si c'est pas si nouveaux comme procédé (N&B avec quelque touches de couleurs), ça fait vraiment du bien à voir. Le ryhtme du film est différent. Alors bon cinéma!

Un peu de sincérité

Écrit le 05/02/2005 @ 21:21

Société - Travail Samedi 5 février. Je suis un peu déprimée ce soir. Parallèlement à mon défoullage sur support - ma foi! - écranique, je bois un faux café, une sorte de vrai café instant... Je voudrais ici faire une complainte: la mienne. Et si je pouvais chanter ma complainte, j'aimerais pouvoir la chanter juste et assez fort car je me dis que Dieu, avec le temps, a du accroître en surdité... Je m'explique. J'ai un travail en ce moment qui ne me satisfait pas totalement. La principale qualité de mon travail est qu'il me paie bien. Je suis entourée d'une foule de gens tous plus communs les uns que les autres: je fais partie de cette foule. Je m'y promène, je m'y sens à l'aise la plus part du temps et d'autres fois, je crois trébucher. Je me sens alors... comment dire... hors du commun! Où suis-je, d'où viens-je, où vais-je et pour combien de temps? Je m'inquiète de tant de choses. C'est notre lot à tous, je le consents. Mon travail comme votre travail doit m'occuper je présume et faire en sorte d'écarter certaines possibilités obscures et inenvisageables pour l'avenir. Du moins, pour mon avenir. Je pense au fait que je pourrais un jour me retrouver seule, complètement seule ou bien, être si proche des gens que je ne m'y verrais plus. Je ne voudrais pas un jour apercevoir dans le creux d'un miroir ou d'un chedron le derrière de ma tête si je voulais d'abord y voir de mon visage. Vous voyez ce que je veux dire ou bien, est-ce que ce que j'écris, mon petit défoullement écranique instantané, semble niais et dénué de sens? Un peu de sincérité, le monde est à pleurer, a bien dit J.Leloup. Je ne suis pas le monde certes mais ma cause je dois avouer, me semble parfois inachevable, disqualifiable. J'ai découvert que j'étais une artiste ratée mais l'essentiel me dit que je dois continuer à me lever les matins de gris nuages et que même si je travaille sans trop savoir pourquoi, pour qui, que j'ai toujours en option d'améliorer la vie autour de moi. De petits gestes bien simples comme j'entends souvent... Un jour, je souhaiterais travailler dans un petit club vidéo (je suis née avec une bobine de film dans le trou-de-fion je crois), même si je suis mal ou très justement payée: je tenterais le cou. Idée de partager mes idées, mes goûts et un peu de ma folie avec les gens, ces gens du commun... Comme pour me reconnaître et me saluer parmi eux.

Un boulot à la québécoise

Écrit le 18/11/2004 @ 07:03

Société - Travail Dans l'usine où je travaille - où je produis - les gens me font rire… rire jaune surtout. J'ai remarqué que certains s'amusent d'autres personnes, dans leur dos, à répétition. Un peu comme les pièces que nous fabriquons à la chaîne, ces personnes se répètent et par le fait même m’ennuient à mourir. Mon travail comme tel est déjà plus intéressant que ces mille conversations banales, immorales, grottesques, qui ne riment à rien et qui m'attristent beaucoup. Il me semble qu'il y a tant d'autres sujets à discuter - ben oui! - comme de la pluie et du beau temps. J'entends des méchancetés parfois qui me font le même effet qu'une fausse note ou qu’une voix aigue et stridente. Du côté des commentaires et des racontars, ça opère en titi dans cette boîte-là! Je sais, c'est partout pareil... Quand même, je comprends mal toute cette méchanceté entre nous chaque jour. Pourquoi ne vieillissons-nous pas plus humblement? Je voudrais pour ma part tenter de remédier à ce bobo car c'en est un. Je voudrais me lever et crier fort : "TAISEZ-VOUS!". Et c'est moi qui me tais... On se permet également de juger qui nous voulons, "politichien" ou "artisssse" dans notre bonne société Québécoise. Est-ce un comportement typique d'ici? Probablement pas. Une honte certes et j'en fais partie. Je n'échappe pas à ce fléau. Sans doute suis-je même influencé par lui malgré moi. Je crois qu’il est convenable de garder certaines choses pour soi. La parole est devenue trop facile, j’en conclus.